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Le Mercato s'agite autour de Mikautadze : Lyon face à un dilemme financier

Publié le 26/12 par Antoine Talty
Georges Mikautadze, l'attaquant de l'Olympique Lyonnais, suscite l'intérêt de plusieurs clubs européens. Galatasaray, Everton et Leverkusen pourraient frapper à la porte cet hiver, offrant à Lyon une occasion en or de renflouer ses caisses. Mais la situation du joueur soulève de nombreuses questions sur son avenir et celui du club.

Alors que le mercato hivernal approche à grands pas, l’Olympique Lyonnais se retrouve dans une position délicate, et ce n’est pas vraiment une surprise. Georges Mikautadze, fraîchement arrivé cet été, est en train de devenir la poule aux œufs d’or que tout le monde s’arrache. Plusieurs clubs, dont Galatasaray, Everton et Leverkusen, seraient déjà prêts à mettre la main au portefeuille pour faire du bien aux finances lyonnaises. Malheureusement, cela sonne un peu comme un sauve-qui-peut pour l'OL qui doit absolument éviter un autre coup dur de la DNCG.

Mikautadze : un avenir incertain à Lyon

Malgré un retour aux racines plutôt prometteur, le parcours de Mikautadze à Lyon n'a rien d'une promenade de santé. Le joueur, malgré quelques belles performances et un but contre le PSG, a surtout été cantonné à un rôle de remplaçant. Il a disputé 21 matchs depuis le début de saison, mais seulement 7 d'entre eux comme titulaire. C'est typiquement le genre de situation frustrante qui agace les supporters, d'autant plus qu'il a capitalisé avec 7 buts en peu de temps. Un paradoxe total !

Les clubs en embuscade

Alors que Lyon tergiverse, les prétendants sont plus que jamais en embuscade. Galatasaray envisage de faire de lui le remplaçant de Mauro Icardi, tandis qu'Everton et Leverkusen salivent à l'idée de le recruter. Avec la manne financière alléchante de la Premier League et les ambitions affichées par les Allemands, l’OL pourrait voir arriver un joli chèque, ce qui, avouons-le, ferait du bien à leur budget. À ce rythme, vendre Mikautadze pourrait faire partie de la dernière chance d'éviter une débâcle financière pour les Gones, une belle ironie quand on y pense.